Après les vagues de disparitions d'anonymes et de Stars qui ont jonché 2015, nous voici entrés dans l'ère 2016. Pas de triomphalisme : ce n'est que le début, et rien ne laisse présager que cette édition soit moins pourrie que la précédente. C'est l'optimisme façon Radio Libre : on profite de l'actualité et de la conjoncture pour en faire nos choux gras. Un peu comme un mauvais journal avec de mauvais journalistes.

Mais s'il existe bel et bien des journaux qui omettent de prévenir le quidam de la publication d'articles le concernant, et le renvoient gentiment dans ses pénates lorsqu'il tente de s'enquérir du contenu de celui-ci (si si, ça existe ! Radio Libre connaît !), ce n'est pas le cas de cette émission. Sans s'interdire de monter en épingle le moindre déplacement de pavé de rue, Radio Libre met en tout cas un point d'honneur à donner la parole à ses auditeurs.

Les auditeurs, ils sont là. C'est toi, c'est moi, c'est eux. Ce sont les RADIOMnautes, cette masse anonyme et grouillante qui se presse, parfois très mollement, au portillon de l'émission et des moyens de communication qu'elle met à disposition pour tailler une bavette.

C'est toujours la même rengaine : dès maintenant, le ou la RADIOMnaute que tu es peut laisser un message sur le répondeur de « 📞 Radio Libre », un mail à radiolibre (at) radiom (point) fr, ou un SMS au 06 44 63 1234. Si si.

Et bien sûr, comme tous les mardis soirs (ou presque, relire Libre dans l'absence) à partir de 22h, c'est au standard que l'on attend les RADIOMnautes désireux ou désireuses de s'épancher en direct, au 0974768181.

On attend déjà les appels, et on prépare l'émission. Mardi soir. 22h.